CHRONIQUES pour l'album ON CONCRETE
MAGIC RPM
"Des chansons apaisantes mais pleines de petites fêlures.
(...) Le type même de groupe bien de chez nous qui trace sa
route sans prétention mais avec une vraie classe." (Gilles
Duhem)
ABUS DANGEREUX
Ça commence sous la pluie, mais on est vité séchés par
la chaleur de ces miniatures folk, bonnes comme du bon pain (d’épice).
La voix d’Isabelle n’est comparable à aucune autre, ne s’embrasant
que lorsque cela vaut vraiment le coup. On l’imagine à la fois bienveillante
confidente de nos petites turpitudes quotidiennes (« it doesn’t
matter if it hurts ») et conteuse de la pudeur amoureuse, insérant
ici et là quelques sons enregistrés dans la rue. L’autre atout du
duo français est la manière dont David élargit le champ exigu de
l’imaginaire folk avec un tas d’instruments qui frappent, frottent,
piaffent, s’insèrent dans cet univers mélancolique, mais pas triste.
La guitare est souvent électrique, le piano est désaccordé, les
cymbales discrètes, le violoncelle orageux … On Concrete est de
fait un joli disque d’hiver à écouter au coin du feu quand il pleut
pour se réchauffer le cœur. [C]
TELERAMA
" (...) Isabelle Casier, la moitié du duo folk
velvetien Pollyanna, chante de petites musiques de canapé,
avec un banjo de temps en temps pour gratter le spleen. (...) "
(François Gorin)
LONGUEURS D'ONDES
"Le duo concrétise sur un deuxième disque ses
aspirations folk-pop semi-acoustiques. Sous la couche de mélancolie
qui traîne dans la voix et les mélodies, Isabelle parle
avec une drôle de sérénité d’abandons,
d’amertume et déceptions variées… L’intensité
s’inscrit par vagues et culmine sur un Railroad boy aussi
ténébreux que radieux."
POP NEWS
"Pollyanna passe le cap du second album avec beaucoup de maîtrise
sans pour autant perdre l'innocence de leurs chansons Pop-folk."
(Gildas)
(Lire la chronique ici)
PINKUSHION
Pollyanna convainc par sa sobriété et une certaine maturité qui transpire à chaque note. Joli coup.
(Lire la chronique ici)
SEFRONIA
"Une carte du tendre qui ressemble à un champ de mines,
où l'incertitude domine. Mais les chansons sont portées
par une voix mélodieuse, et une accueillante diversité
dans les arrangements : guitares, ukulélé, violoncelle,
plus tout un attirail percussif qui dynamise les compositions."
(Jérôme Fiori)
(Lire la chronique ici)
LA MAGIC BOX
"La plume d’Isabelle reste riche, elle peut même
être cruelle derrière des mélodies apparemment
badines. (…) Suzanne Vega et Laura Veirs ont en tout cas trouvé
un challenger de poids à Paris." (Denis Z.)
(Lire la chronique ici)
POP REVUE EXPRESS
"Le duo continue de nous offrir ses petites chansons tranquilles,
mélancoliques et chaleureuses comme on les aime."
(Lire la chronique ici)
LE ZATA
"Les mélodies et les textes continueront de résonner
dans votre esprit ... le disque ne finit pas d'agir, et revient
très vite sur les platines et playlists."
(Lire la chronique ici)
FRANCHUTA
"Une sorte de voyage initiatique aux frontières de la
folk et de la pop, où mélancolie n’est pas synonyme
de chagrin ou de dépression mais bel et bien de calme, d’apaisement
et de plaisir auditif."
(Lire la chronique ici)
CHRONIQUES pour l'album WHATEVER THEY SAY I'M A PRINCESS
En quittant Marseille, il y a trois ans, il semble
qu’Isabelle ait laissé derrière elle tout ce
qui n’était pas essentiel. Les ballades acoustiques
qu’elle compose aujourd’hui tiennent debout dans une
simple respiration, un vide suspendu entre les notes.
Whatever they say I’m a princess possède la fragilité
et la douceur de la lumière d’automne, une mélancolie
de chaque instant qui se décline en demi-teintes rougissantes,
en harmonies d’or vieilli, détrempées après
l’averse. On a les dents qui grincent sur la guitare un peu
aigre et les lignes de chant dépouillées de The Narrow
Door. On a le souffl e coupé par la gravité brillante
de Frankenstein, une envolée pop grisante qui fait tomber
l’espace d’un instant les frontières de deux
solitudes. Entre idéal et désillusion, douceur et
cruauté, nostalgie et foi absurde en l’avenir, Pollyanna
ne tranche pas, mais semble porter chaque énigme, chaque
contradiction comme autant de trésors.
Marie Daubert - Magic
Cette jeune française chante une folk intimiste. Sa voix
évoque tant Joan Baez (tout de même) que Paula Frazer
(en moins froide). Elle a un beau timbre, assez grave, et fi nalement
peu commun.
Jean-Charles Versari - NewComer
Pollyanna connaît les recettes de la mélodie du bonheur
« auditif ». De la guitare sèche sans fi oriture
façon Marine Girls (premier groupe de Tracey Thorn), des
paroles torturées en anglais (parfait), du violoncelle à
petite dose, des envolées lyriques quand il le faut, de la
violence rentrée. (...)
Violaine Schütz - Popnews.com
La tonalité de Whatever they say… est mélancolique
sans être pesante. Les mélodies égrenées
avec une agréable application sont parfois très entêtantes.
Je pense à toutes ces pop songs habillées légèrement
(agrémentées de temps à autre d’une rythmique
toute en retenue) qui évoquent parfois REM. D’autres
écriront Leonard Cohen …
Attica Webzine
Derrière la joliesse de ces pages écrites d’une
acoustique ronde et appliquée, des cahiers entiers recouverts
de ratures. (…)
Comme quelques catherinettes anglosaxonnes, la voix d’Isabelle
Casier n’est pas seulement « jolie », elle renseigne
directement sur l’état émotionnel de sa propriétaire,
sans autre intermédiaire.
Jérôme Fiori - Sefronia.com
Pollyanna se rapproche de ses illustres aînées (Joan
Baez, Joni Michell) mais aussi de chanteuses américaines
au spleen contagieux que sont Lisa Germano ou Shannon wright. Accompagnée
de sa guitare et des quelques instruments à cordes, Pollyanna
s’avance tout doucement vers la lumière et nous fait
visiter son univers intime, mélancolique, mais jamais triste,
dans lequel on partage ses joies et ses peines sur des arrangements
simples et souvent réussis.
Benzine
Des arpèges songeurs soutenus par quelques arrangements discrets,
une voix douce portant des textes introspectifs, la formule n’est
pas nouvelle. Mais de ce côté-ci de l’Atlantique,
elle est rarement gagnante. Pollyanna (…) s’emploie
à nous prouver le contraire.
IndiePopRock
Le premier album de Pollyanna est ce qu’il se fait de mieux
en matière de folk song mélancolique.
Gerald de Oliveira - A découvrir absolument
Amours perdus, désir de départ, les cinq titres de
cet autoproduit souffl ent le feu et le froid sur les petits continents
de Pollyanna, pas seulement habitée par la guitare et cette
voix profonde mais aussi par quelques cordes qui on l’espère
ne serviront pas à pendre les dernières illusions.
Liability
Amis claustrophobes, ne craignez pas les limites de ce territoire
intérieur, il est ouvert aux courants d’air, l’atmosphère
y est respirable. (...) Embelli par les arrangements, le petit monde
de Pollyanna se découvre et prend l’air.
Grand Rock